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Des projets d’ONU commerce et développement démontrent que les secteurs à forte consommation d'eau peuvent passer à une production respectueuse de l'environnement dans des délais courts, tout en soutenant une croissance économique basée sur le commerce.

La 14ème conférence internationale sur la gestion de la dette a renouvelé les appels pressants en faveur de réformes du système financier mondial afin que la dette soutienne le développement au lieu de le compromettre.

La flambée des paiements d'intérêts grève les budgets, obligeant les gouvernements à arbitrer entre rembourser les créanciers et financer les services essentiels.

Mais l’élan s’est essoufflé au second semestre, et l’incertitude plane sur 2025 alors que les politiques en pleine mutation redessinent le paysage économique mondial.

La conférence se penchera sur les causes de la crise du développement due à la dette et sur les moyens d'améliorer la résilience et la gestion des risques dans un contexte d'incertitudes mondiales croissantes.

Alors que l'incertitude commerciale s'accroît, une coopération mondiale et des politiques équilibrées seront essentielles pour prévenir la fragmentation économique et préserver la croissance à long terme.

Les exportateurs des pays en développement sont souvent confrontés à des droits de douane plus élevés sur les produits finis que sur les matières premières, ce qui décourage la création de valeur ajoutée, la croissance industrielle et la création d'emplois.

Malgré des progrès, les femmes contribuent encore moins aux exportations tous secteurs confondus. Pour réduire cet écart, il faut leur ouvrir l’accès aux secteurs à forte valeur ajoutée, renforcer les droits du travail et soutenir leur intégration dans les grandes entreprises.

Les politiques commerciales, les entrepreneurs sociaux et les partenariats sont essentiels pour exploiter le vaste potentiel de l’océan en matière de croissance économique, d'environnement et de bien-être humain.

L'océan est le moteur d'industries allant du tourisme aux biotechnologies, à l'énergie propre et aux produits pharmaceutiques. Mais le changement climatique, la pollution et le sous-financement mettent son avenir en péril